Les Comptabilités Modulaires présentées ici sont issues de la Théorie Fondamentale de la Comptabilité conçue par l’auteur. Les Comptabilités Modulaires sont des ‘comptabilités pures’ au sens donné par le docteur en droit Joseph-H Vlaemminck dans sa thèse de doctorat en sciences économiques appliquées « Histoire et Doctrines de la Comptabilité ».
Une ‘comptabilité ‘pure’ est une comptabilité capable d’enregistrer tout fait quelconque en toute unité. Pour obtenir ce résultat l’auteur a notamment utilisé toutes les conséquences qu’offre le passage de l’algèbre rhétorique à l’algèbre symbolique.
Un module comptable est une ‘comptabilité pure’ à part entière qui réintroduit les mesures quantitatives tracées sur les tablettes d’argile et intègre les essentielles notations qualitatives jamais enregistrées. Ces mesures et notations sont les sous-jacents justifiant la correcte valeur exprimée en unités monétaires.
La poursuite de ce chemin conduit au Bilan et au compte de Résultats, respectivement en unités quantitatives et qualitatives, des actifs sociaux, immatériels, écologiques et environnementaux. Ces situations quantitatives et qualitatives sont les situations sous-jacentes qui justifient le Bilan Intégral et le compte de Résultat Intégral en unités monétaires des actifs sociaux, immatériels, écologiques et environnementaux de la ‘Matière’[1] observée par une entité.
[1] Par ‘Matière’ il faut entendre toutes les matières naturelles quantifiées par les mesures de base, mais aussi toutes les disciplines et constructions élaborées par l’Homme quantifiées avec de multiples mesures dérivées.